« L’église Saint-Aré est en grande partie classée (seule la nef ne l’est pas), et d’époque romane (transept, chœur, absides et chapelles latérales) », explique la spécialiste, dont la mission était double. La restauratrice a commencé par des essais de nettoyage du Chemin de croix. Réalisé par le peintre Raphaël Bodin en 1897, celui-ci est composé de peintures à l’huile sur toile, fixées – marouflées – aux murs dans la nef. Pour redonner tout leur éclat aux quatorze stations de ce chemin, Laurence Blondaux a utilisé des solutions chimiques. (Journal du centre, 2 avril 2024)