L’édifice, bâti au XVIe siècle, mais dont les premières traces d’une chapelle remontent au XIIIe, s’apprête à connaître une profonde cure de jouvence. Le chantier, qui vient de démarrer, sera le plus important que connaîtra cette année la cité burgienne. Il devrait durer environ deux ans. Les diagnostics réalisés ne laissaient plus aucun doute. Des travaux d’envergure s’imposaient pour préserver ce joyau du patrimoine burgien. Mais cela a un coût et la facture s’annonce salée : 4,8 millions d’euros pour mener à bien la restauration de Notre-Dame.
La Ville de Bourg-en-Bresse apporte un financement de 2 millions d’euros, l’État 1,5 million d’euros, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le Département de l’Ain 500 000 euros chacun. La Mission patrimoine portée par Stéphane Bern mettra également au pot à hauteur de 300 000 euros. (JBTP, 6 janvier 2025)